Conférences

Le 16 mai 2012, Claude Reiss était à La Chambre (73) pour faire la même conférence, cette fois à l’appel d’une candidate aux élections législatives de l’Alliance écologiste indépendante, mouvement avec lequel nous sommes également en contact depuis fort longtemps et que nous remercions tout aussi vivement pour son intérêt et son soutien à nos actions. Des vétérinaires, une journaliste et un maire étaient présents, parmi un public d’une vingtaine de personnes. Cette conférence était annoncée sur le site du Dauphiné : www.ledauphine.com/savoie/2012/05/15/l-ex-directeur-du-cnrs-claude-reiss-a-la-chambre.

Le 11 juin 2012, André Ménache participait, à Cambridge (Royaume Uni), au débat qui a suivi une conférence du Dr Andrew Knight sur le rapport coût/bénéfices de l’expérimentation animale. Les participants incluaient des professeurs de médecine vétérinaire, ainsi que des fonctionnaires du « Home Office », responsables de la réglementation sur les études faites sur des animaux. Le Dr Andrew Knight est lui-même vétérinaire et nos lecteurs fidèles ont pu prendre connaissance de ses travaux dans plusieurs numéros de La Notice d’Antidote et, plus particulièrement, dans le numéro 22 où nous publiions une interview de lui.

Le 11 mai 2012, Claude Reiss était à St-Laurent du Mottay (49) pour une conférence au sujet des pollutions chimiques qui menacent, et même, qui affectent déjà gravement notre santé. Cette conférence était organisée par Mme Chantal Schosseler, candidate aux élections législatives du Mouvement Hommes Animaux Nature (MHAN), mouvement qui nous a déjà sollicités à plusieurs reprises depuis la création d’Antidote Europe et que nous remercions bien vivement pour l’intérêt qu’il porte à nos travaux. Ouest France annonçait cette conférence dans un article consacré à Mme Schosseler et disponible sur www.ouest-france.fr/actu/actuLocale_-C.-Schosseler-pour-l-emploi-et-la-nature-_49007-avd-20120504-62769534_actuLocale.Htm.

Le 18 mars 2012, André Ménache était à l’université de droit de Kiryat Ono, toujours en Israël, pour un débat sur l’utilisation d’animaux dans la recherche scientifique. Là aussi, une cinquantaine de personnes ont participé et, en plus des étudiants et des professeurs, il y avait des avocats. Nous espérons qu’ils auront pu constater à quel point les réglementations (celles qui imposent des tests sur des animaux, par exemple) sont en retard par rapport aux possibilités scientifiques et techniques actuelles.