Conférences

Le 8 juin 2021, André Ménache donnait une visioconférence en simultané à quatre classes du Kings Langley School, un lycée britannique. Le public était composé de près de quatre-vingt personnes au total. L’exposé de notre conseiller scientifique portait sur le manque de fiabilité pour l’homme des données obtenues sur l’animal et, afin de mieux susciter les questions, était précédé de la diffusion de la vidéo « Bonne science versus mauvaise science » (https://youtu.be/4_Pn0I6ddMw). Cette campagne printanière de conférences dans des lycées et collèges se poursuit donc avec de très bons échanges.

Le 2 juin 2021, André Ménache donnait deux visioconférences dans un lycée de Liège, en Belgique. Les 37 élèves étaient âgées de 17 ou 18 ans. Chacune des conférences a duré cinquante minutes et a permis d’exposer les problèmes scientifiques que pose l’expérimentation animale, ainsi que d’échanger avec les élèves qui ont demandé des conseils pour agir concrètement. Nous sommes ravis des commentaires de l’une des professeures nous faisant par que « les élèves semblaient motivées à faire des démarches. Des graines sont semées ». Le lycée accueillant des membres de familles plutôt aisées, il est permis d’espérer que les graines germent dans un milieu où les possibilités d’agir seront effectives.

Le 28 mai 2021, André Ménache donnait une visioconférence à des élèves du Francis Holland School de Londres. Notre conseiller scientifique présentait l’expérimentation animale à une classe d’une trentaine d’élèves. Lors de cet exposé qui a duré environ une heure, plusieurs sujets ont pu être abordés, tels que les essais sur des animaux, les essais cliniques sur l’homme, le pouvoir du consommateur, le rôle d’une enquête parlementaire sur la validité du « modèle animal ». Le webinaire a été suivi de commentaires très positifs sur notre prestation, aussi bien de la part des élèves que de celle du professeur.

Le 13 mai 2021, André Ménache donnait une visioconférence à des élèves de l’AKS medical society, un lycée privé britannique. La classe était composée de vingt lycéens et la conférence a duré une cinquantaine de minutes. Notre conseiller scientifique a expliqué en quoi le prétendu modèle animal n’est pas fiable pour évaluer les réactions humaines dans le cadre d’une maladie ou face à un nouveau médicament. La loi impose pourtant de tester tout candidat médicament sur des animaux avant de passer aux essais cliniques sur l’être humain. Les premiers de ces essais se font sur des volontaires sains, qui peuvent être dédommagés pour leur temps et frais associés à cette participation. Cela, bien sûr, attire souvent des étudiants. À la question : « Seriez-vous d’accord pour participer à un essai clinique de phase 1 pour deux milles livres ? » une étudiante a répondu que sa réponse aurait été « oui » mais qu’à la suite de l’exposé elle répondrait plutôt « non ». Il semble que les arguments de notre conseiller scientifique aient fait mouche !