Dans les médias

Le 18 janvier 2022, L’Humanité publiait sur son site une tribune soumise par André Ménache intitulée : « Un cœur de porc transplanté sur l’homme : et si les risques nous concernaient tous ?« .

Elle fait suite à la récente « prouesse » scientifique réalisée aux États-Unis. L’auteur dénonce plusieurs risques. Pour le patient, bien sûr, celui du rejet. Mais aussi pour l’ensemble de la population si une recombinaison virale venait à faire émerger une souche très contagieuse.

Le 14 janvier 2022, L’Humanité publiait sur son site une tribune soumise par André Ménache intitulée : « Que nous enseigne la pandémie de COVID-19 ?« . Deux leçons sont mises en avant : le danger d’infecter des animaux avec des virus qui peuvent se transmettre à l’homme, même dans des laboratoires de haute sécurité, et la réflexion que nous devrions avoir sur la responsabilité de chacun envers sa propre santé.

Le 12 janvier 2022, Le Figaro publiait un article au sujet de l’endométriose suite à la publication d’un rapport sur l’élaboration d’une stratégie nationale de lutte contre cette maladie féminine. À la suite de cet article, Antidote Europe publiait le commentaire suivant : « Pas un seul mot dans l’article sur la prévention alors que les perturbateurs endocriniens pourraient être à l’origine de certains cas d’endométriose. Pour cela il faudra investir davantage dans des études épidémiologiques, comme le souligne l’article suivant : « Endocrine disrupting chemicals and endometriosis » (publié en 2016 par les auteurs Smarr, Kanan et Louis dans le journal Fertil Steril). »

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Le 11 janvier 2022, Le Figaro publiait un article relatant la greffe d’un coeur de porc génétiquement modifié sur un homme, une « première mondiale » réalisée en ce début d’année. À la suite de cet article, Antidote Europe publiait le commentaire suivant : « Est-ce vraiment le bon moment de transplanter des organes d’origine animale chez des patients humains en pleine période COVID-19 ? Mis à part le problème de rejet de l’organe, quid du danger de transmettre des virus et d’autres pathogènes (prions) du porc à l’homme ? Le vrai problème n’est pas un manque d’organes d’origine humaine mais un surplus de personnes en mauvaise santé liée à une politique sanitaire où le mot « prévention » est inaudible. »

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