Dans les médias

Le 31 mars 2021, L’Humanité publiait sur son site une tribune soumise par André Ménache intitulée : « Mediator, l’Agence et les cobayes« . Elle faisait suite au jugement rendu par le tribunal correctionnel de Paris deux jours plus tôt à l’encontre de Servier et de l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM). Aux centaines ou milliers de décès attribués à ce médicament, s’ajoutent des invalidités lourdes. « Comment expliquer des effets secondaires aussi graves ? » s’interroge notre conseiller scientifique. Encore une fois, il pointe du doigt la confiance mal placée dans le « modèle animal » et de graves lacunes dans les informations qui figurent sur le site de l’ANSM.

Le 16 mars 2021, L’Humanité publiait sur son site une tribune soumise par André Ménache intitulée : « Essais cliniques ou expériences sur l’être humain« . Les essais cliniques de vaccins se faisaient, jusqu’à présent, sur des volontaires sains qui, au cours de leur vie quotidienne, pouvaient être exposés au virus. Dans le cas du SARS-CoV-2, le gouvernement britannique a autorisé un protocole d’essais selon lequel ces volontaires en bonne santé pourraient être délibérément infectés. « Mais« , interroge André Ménache, « si les essais pratiqués sur des animaux ne permettent pas d’évaluer de façon fiable les effets sur l’homme, que sait-on concrètement du risque que prennent ces premiers cobayes humains et que vaut le recueil de leur consentement « éclairé » ?« . Notre conseiller scientifique rappelle que des technologies comme les organes sur puces, la vaccinomique ou l’adversomique permettraient de développer et de tester les vaccins sur l’être humain dans de meilleures conditions de sécurité.

Le 13 mars 2021, Antidote Europe enregistrait un commentaire à la suite d’un article publié la veille sur le site du journal Le Figaro intitulé « Covid-19: le pari fou de vaccins développés en un temps record ». Parmi beaucoup de commentaires plutôt critiques de la politique de vaccination de masse, nous faisons remarquer : « Concernant le bilan d’efficacité versus effets indésirables inconnus, nous ignorons actuellement les effets secondaires à moyen et long terme de ces vaccins. Cela concerne surtout les personnes jeunes et en bonne santé. Bien qu’il existe des outils performants pour mieux identifier les individus susceptibles à mal réagir aux composants d’un vaccin (notamment la vaccinomique), impossible de savoir si les fabricants des vaccins l’ont appliqué au cours de leurs essais cliniques (secret du commerce). Aussi, les autorités de sécurité sanitaire n’exigent pas de telles données dans le cadre d’une AMM. »

Notre contribution était disponible, pour les abonnés.

– Le 7 mars 2021, L’Humanité publiait sur son site une tribune soumise par André Ménache intitulée : « Appel à la responsabilité morale des actionnaires des firmes pharmaceutiques« . La vente de vaccins contre la Covid-19 va générer des chiffres d’affaires colossaux. Premières victimes, les animaux de laboratoire utilisés pour développer ces vaccins. Les deuxièmes seront-elles les humains qui souffriront d’effets secondaires non mis en évidence sur les animaux ? « Actionnaires !« , appelle André Ménache. « Il vous appartient d’exiger de la direction des entreprises pharmaceutiques, de faire évoluer la réglementation. Cette industrie possède les moyens et les ressources pour remplacer les tests sur des animaux par une médecine basée sur des preuves, et peut accéder aux technologies du XXIe siècle, hélas largement sous-employées !« .

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