lobbying-26-nov-2014
Le 26 novembre 2014, une conférence de presse était donnée au sein du Parlement européen, à Bruxelles, pour présenter les avancées du parcours de l’initiative citoyenne européenne Stop Vivisection. Elle a permis à certains députés d’exprimer leur soutien en participant à son organisation : M. Fabio Massimo Castaldo, membre du Groupe Europe de la liberté et de la démocratie directe, au Parlement européen, et membre du Mouvement 5 étoiles en Italie ; M. Stephan Eck, membre du Groupe confédéral de la Gauche unitaire européenne (GUE) ; et Mme Michèle Rivasi, vice-présidente du Groupe des Verts / Alliance libre européenne. Des représentants, donc, de trois partis politiques différents, de trois nationalités différentes. Claude Reiss et André Ménache étaient présents à la tribune, aux côtés de Gianni Tamino, président d’Equivita. Tous trois sont membres du comité organisateur de Stop Vivisection. Ils ont souligné l’état de catastrophe sanitaire dans lequel se trouve l’Union européenne (UE) en raison de maladies imputables, pour une large part, à un environnement pollué. Le « modèle animal », en fournissant des données toxicologiques sans fiabilité aucune pour l’homme sur les substances chimiques auxquelles nous sommes exposés, et en menant souvent la recherche de thérapies sur de fausses pistes, est l’un des principaux responsables de cette dégradation de la santé humaine.