Dans les médias

Le 6 novembre 2020, le périodique belge L’Avenir publiait un article intitulé : « Trop d’expérimentations inutiles« . Il se référait au nombre d’expériences faites sur des animaux, dont les statistiques pour l’année 2019 ont été publiées. Pas loin de 500.000 animaux ont été sacrifiés l’année dernière dans les laboratoires belges. Interviewé en tant que membre de Walcopa, organisation promouvant les méthodes alternatives, André Ménache rappelait, chiffres à l’appui, à quel point les essais sur des animaux sont inutiles pour la mise au point de médicaments pour l’homme. Des méthodes fiables existent, « tout est une question de volonté, à la fois scientifique et politique« , faisait-il remarquer.

Le 2 novembre 2020, Antidote Europe enregistrait un commentaire suite à un article publié sur le site du journal Le Monde au sujet des prétendus modèles animaux de la Covid-19, présentés comme « cruciaux ». Ce à quoi nous répondons : « Rappelons-nous l’article phare de Nathaniel Herzberg publié dans Le Monde le 10 février 2015. « La souris, pas top-modèle. Elle rafle les Nobel de médecine depuis le début du XXe siècle. Mais « Mus musculus » lance trop souvent les chercheurs sur de fausses pistes. Doit-on redéfinir son rôle ? Les scientifiques s’affrontent. » Dommage que certains chercheurs éludent un principe de base dans les sciences du vivant, notamment qu’aucune espèce n’est un modèle biologique pour une autre espèce. »

Notre contribution était disponible, pour les abonnés.

Dans son numéro de novembre/décembre 2020, le périodique néerlandais The Optimist publiait un article intitulé : « La fin de l’expérimentation animale« , écrit suite à une interview d’André Ménache. Les propos de notre conseiller scientifique y sont très longuement et fidèlement rapportés. Il dénonce l’expérimentation animale comme étant le vestige d’une réglementation obsolète et comme un paradigme dangereux puisqu’il mène à un taux d’échec de 90 % lors des essais de médicaments sur l’homme. « Selon lui, « la fin de l’expérimentation viendra en majeure partie par un réveil d’une opinion publique bien informée, confortée par une argumentation scientifique rigoureuse en béton pour démanteler le dogme du modèle animal. »  » Il rappelle la victoire obtenue dans le cadre des tests du Botox, précisément grâce à la mobilisation de l’opinion publique.

Réservé aux abonnés et, bien sûr publié en néerlandais, l’article est disponible ici.

– Le 24 octobre 2020, L’Humanité publiait sur son site une tribune soumise par André Ménache intitulée : « COVID-19 : ces chercheurs qui pervertissent la science« . Il y fait remarquer que « l’être humain est unique quant à sa susceptibilité et aux symptômes liés à la COVID-19 » et qu’il est donc inutile d’étudier « souris, hamsters, furets, macaques, visons, chats, chiens, porcs et chauves-souris, tous […] désormais dans le viseur des chercheurs« .